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CHRISTOPHER HENRY

Only god can judge me Peinture acrylique, 2013

« … malgré les obstacles, nous nous devons de réaliser nos rêves, nos ambitions … »


L’œuvre

Portrait réalisé pour mettre en avant le parcours atypique d’une des premières stars du Hip-Hop/Rap US.

Christopher Henry, alias « Sin »

Jeune artiste peintre autodidacte de 28 ans, né à Lyon, c’est aujourd’hui à Angers qu’il travaille.

BARBARA LISSILOUR

Sam’regarde, Deux fois 15 dessins à la mine graphite, 2016

« C’est une proposition d’éclairage et de mise en lumière de la complexité de la contemporanéité féminine, de son développement »


L’œuvre

Cette série de regard est extraite d’un travail de déconstruction de l’histoire de la femme pour mieux la mettre en avant.
Ceci avec, pour finalité, de lui donner ou re-donner la place qu’elle mérite au sein de notre société et qui lui est si souvent refusée.

Barbara Lissilour

Barbara Lissillour est diplômé des Beaux-Arts d’Angers, elle enseigne en tant que professeur de stylisme et d’arts-appliqués à Esmod, s’intéresse à la Bande-Dessinée, notamment aux romans graphiques.

ANGELIQUE LECAILLE

Dessin à la mine de plomb sur papier Monterval. Encadrement baguette métal brossé. 110 X 80 cm. 2009

« L’artiste éveille une forme de ravissement face à des scènes dont nous ne sommes plus maîtres, l’agitation des forces, le déchaînement des éléments »


L’œuvre

Ce dessin effectué à la mine de plomb illustre le déluge. Ce ciel inquiétant est en lien avec l’occupation de l’Irak et les drames humains qui s’y déroulent. Il ne s’agit pas seulement de reproduire des éléments du réel mais de recréer une mise en situation théâtralisée d’évènements dont l’obscénité et l’horreur ont provoqué des réactions dans l’opinion publique.

Angélique Lecaille

Cette artiste rennaise travaille ses dessins à la mine de plomb. Par l’envahissement de la surface, la densité du geste dans le traitement subtile de l’ombre et la lumière, elle incite à la contemplation. Embarquée, elle confère à ses sujets une dimension de sublime.

OLIVIER DUPA

Dandy Bird Acrylique, posca, feutre et aérosol / 60 x 80 cm, 2014


Olivier Dupa

Graffiti artist depuis 13 ans, et Bordelais d’origine.

D’abord passionné par le lettrage pure et les cultures urbaines, puis influencé par ses études de graphiste, il n’hésite pas à mixer les techniques et développe un style au caractère unique, basé sur l’aplat et les combinaisons couleurs.

Amoureux du message et des codes surréalistes, il aime surprendre, provoquer et bousculer les esprits en s’inspirant de ce qui l’entoure, voit et ressent.

Besoin de toucher les gens, il aime poser sa marque, mais il affectionne surtout les moments de partage et de transmission des valeurs et des techniques.
Assoiffé d’espace et de nouveaux défis artistiques, il cherche à jouer avec les contraintes pour redynamiser le paysage urbain.

En proposant son art au travers des projets créatifs inscrits dans la ville, l’objectif est d’apporter une touche moderne et de rafraîchir certains lieux jusqu’ici oubliés ou assombrit par le temps.

Depuis 2006 et la création de son collectif Le Coktail, et en partenariat avec, l’ensemble des acteurs territoriaux, il organise des expos et participe à de nombreux évènements et festivals reconnu de la région pour des performances ou des initiations, tels que les « Vibrations Urbaines », « la Fête du vin » ou « Keep a Breast ».

ANTOINE LOUIS GRAND

Diva N°2 Estampe, 100 x 70 cm, 2014.


« For four years, i lived simply among the peoples of Harlem, fascinated by the energy of a culture so often misunderstood, so often undermined »


L’œuvre

L’œuvre Diva N°2 fait partie d’une exposition : « Harlem Live street ghetto soul » d’Antoine Louisgrand.

La majorité des estampes ont été réalisées entre 1997 et 2000 mais le travail suit depuis un processus et se développe sans discontinuer. Elles sont donc signées de 1997 à 2013.

Antoine Louisgrand

L’artiste vit à Saint Etienne, il travaille dans le secteur de l’éducation populaire et part ainsi régulièrement à la rencontre de tout public, il a également travaillé en milieu carcéral.

Son réseau artistique lui donne la possibilité de travailler ponctuellement aux Etats Unis.

Il a dernièrement exposé une partie de ses œuvres « Au baz’Art Des Mots » à Hauterives dans la Drôme, où vit une partie de sa famille.
Constamment dans l’expérimentation, l’activité d’Antoine est entièrement dédiée aux arts depuis l’enfance où il a été formé aux techniques traditionnelles du dessin et de l’estampe.
Après son diplôme aux Beaux-arts de Lyon en 1995, il part pour New York où il étudie le dessin classique pendant 4 ans.
Il découvre Harlem et établit un atelier de recherche mêlant dessin, photographie, estampe et autres expérimentations autour des idées de mixité, d’immigration, de « Blackness », dans le quartier foisonnant de la 125 ème rue et de Malcom X Avenue.
De retour en France en 2001, il croise la route de « Maki », une performance collective d’ombres et de lumières, danse et musiques improvisées, qui l’emmènera à plusieurs reprises en résidence sur le continent africain et la brousse sénégalaise, en écho à l’expérience afro-américaine.
D’expériences artistiques passionnées en collaborations diverses, l’atelier d’Antoine est devenu mobile, tourné vers le partage, l’énergie collective et l’imaginaire.

FRED SOCHARD

Vers l’île Feutre à bille sur papier, 21 x 29.7 et 17 x 22 cm, 2012


“Ses sources d’inspiration sont diverses, mélangées, ouvertes… Art brut, populaire, art tribal.“


L’œuvre

Vers l’île est constituée de deux dessins aux allures tribales, réalisés au feutre à bille sur papier. Sur l’île en question, peuplée d’animaux exotiques, un avion rempli de personnages accoste. Cette oeuvre est visuellement très forte et contrastée, grâce à la technique graphique de Fred Sochard et à son utilisation exclusive du noir et du blanc.

Fred Sochard

Après quelques années d’infographie, Fred Sochard devient illustrateur pour la presse et l’édition jeunesse. Ses sources d’inspiration sont diverses, mélangées, ouvertes… Art brut, populaire, art tribal. Il réalise les couvertures et illustrations de la collection « Contes, légendes et récits » en poche chez Flammarion Jeunesse. Contaminé par la pratique artbrutiste, il parcourt, en marge de l’illustration, des territoires moins balisés : il remplit des carnets de dessins improvisés qui prolifèrent peu à peu sur de plus grands formats.

ALAIN BUISSON

planche de BD, encre de Chine, aquarelle sur papier 224 g., 29.7×42 cm., 2011


« Il s’inspire d’anecdotes locales et de faits historiques pour créer ses bandes dessinées qu’il travaille dans un style faussement brouillon, mêlant ainsi ses deux passions : histoire et dessin »


L’œuvre

Cette planche de BD réalisée à l’encre de Chine et à l’aquarelle s’intitule Niaphron. Elle raconte l’histoire d’un personnage créé à partir d’une sculpture de Georges Vial, artiste local qui utilise comme support de ses créations des troncs d’arbres. Le fait que le héros de cette bande dessinée prenne les traits d’une sculpture montre la manière dont techniques et œuvres de différents artistes se font écho et se nourrissent les unes les autres.

Alain Buisson

Artiste autodidacte, Alain Buisson développe son dessin avec une ligne simple qui s’accorde au contraste du dessin noir et blanc qu’il affectionne particulièrement. Le sujet de prédilection de ce bédéiste est l’histoire, l’une de ses passions, qu’il cherche à traiter sous l’angle du suspense, du mystère et de l’humour. Il a créé sa propre maison d’édition à compte d’auteur afin d’éditer toutes ses créations.