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CHRISTOPHER HENRY

Only god can judge me Peinture acrylique, 2013

« … malgré les obstacles, nous nous devons de réaliser nos rêves, nos ambitions … »


L’œuvre

Portrait réalisé pour mettre en avant le parcours atypique d’une des premières stars du Hip-Hop/Rap US.

Christopher Henry, alias « Sin »

Jeune artiste peintre autodidacte de 28 ans, né à Lyon, c’est aujourd’hui à Angers qu’il travaille.

CATHERINE TOUZE

Tamarii no te moana Aquarelle, 2015

« La simplicité, le rapport à la nature et à l’océan sont des éléments essentiels de la vie matérielle et spirituelle des habitants »


L’œuvre

Cette aquarelle est issue de la série «Enluminures ».
Elle est inspirée de la vie des îles polynésiennes. La simplicité, le rapport à la nature et à l’océan sont des éléments essentiels de la vie matérielle et spirituelle des habitants.

Catherine Touzé

Catherine Touzé, née au Maroc en 1964, passe son enfance en Afrique, puis en Nouvelle-Calédonie.

JEANNE LACOMBE

Pigeons voyageurs Huile sur papier, tryptique sous verre, encadrement en aluminium blanc, 41/31 cm X 3, 2013.

« Ils sont à l’image de la misère parisienne de ceux qui, chassés par le destin, dorment la nuit devant les portes cochères »


L’œuvre

Et c’est tout naturellement vers les pigeons que Jeanne Lacombe a tourné son regard, comme ceux qui
picorent les restes laissés par les passants du jardin du Sacré Cœur. Ils sont à l’image de la misère
parisienne de ceux qui, chassés par le destin, dorment la nuit devant les portes cochères.

Jeanne Lacombe

Jeanne LACOMBE vit à Toulouse. En 1984, elle est diplômée des Beaux-Arts de Bordeaux. La peinture est la base de son travail artistique et la représentation de l’environnement, du paysage, est au cœur.

JEAN-FRANÇOIS KARST

U Bahn Peinture acrylique, pastel gras sur cartonnette, 2011

« U Bahn » est une œuvre réalisée à la peinture acrylique et pastels gras sur un support cartonnette, et fait partie d’une série


L’œuvre

Dans cette œuvre l’artiste a choisi de reproduire un motif vu sur les tissus d’une rame de tramway à Berlin.

Jean-François Karst

Axé sur la pratique du dessin, de la peinture avec des incursions du côté de la sculpture, le travail de Jean-François Karst interroge la notion de représentation, d’imitation, de transformation, mais également les contraintes liées aux matériaux et aux lois.

 

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Caverne Encre de chine sur cartonnette, 2012

« Caverne » est une peinture réalisée à l’encre de chine sur cartonnette et fait partie d’une série.

L’œuvre

Cette série de peintures basée sur la question du motif se décline sur des supports de même format 110×80 et utilise la même méthode de travail : l’artiste choisit un motif à exploiter, pose son support au sol sur une bâche puis intervient dessus.

DELPHINE MOUSQUEY

Jeux Peinture techniques mixtes, encre caséine pastel, 2013.

« Le jeu est créateur avant tout de nous-même et de notre rapport aux autres et au monde »


L’œuvre

A travers des couleurs pures (pigments, caséine, encre) et des corps presqu’en surimpression, j’essaie de m’attacher à raconter une histoire parlant de nous, de jeux et des relations que nous avons.

Delphine Mousquey

Artiste plasticienne et autodidacte, Delphine Mousquey a été en apprentissage au sein des différents ateliers de M. Mousquey Jean-Pierre, sculpteur et de Mme Piel Marie-France, pastelliste ainsi que des différents artistes comme M. Uria Monzon José, peintre et M. Louise Marc, sculpteur et lithographe.

MAUD PIZY

Planche de bois. Pâte à modeler blanche durcissant à l’air, peinture acrylique, papier mâché, colle à papier peint, colle à bois, éléments naturels. 50 X 40 cm. 2009.

« Des petits univers fantaisistes et drôles »


L’œuvre

Constituée de matériaux variés et inattendus tels que la pâte à modeler et le papier mâché, cette oeuvre évoque quelque histoire fantastique ou merveilleux voyage.

Maud Pizy

Jeune artiste toulousaine, Maud Pizy explore l’imaginaire enfantin. Par l’utilisation de matériaux insolites, elle crée des tableaux en relief faits d’un mélange de peinture acrylique, pâte à modeler, papier mâché, etc.

PHILIPPE CAM

Assemblée Rose Philippe CAM, Gouache et acrylique sur papier dibon, 81 x 44 cm, 2014.


« Ici comme partout dans le monde l’art est contemporain de toutes les époques »


L’œuvre

Un groupe d’hommes et de femmes costumés dans le style renaissance se tiennent côte à côte, posant, face au regardeur (au photographe?).

Leur groupe décrit une farandole qui laisse un espace vide au premier plan, entre eux et le regardeur.

Derrière eux, en fond, un immeuble de type administratif et d’époque peut être 1970, coupe le format du tableau en diagonale.

On peut aussi distinguer entre les gens costumés et l’immeuble, deux arbres et deux poteaux de signalétique.

Les costumes sont très colorés et peints à larges touches, mais l’ensemble du tableau est entièrement recouvert d’une fine couche de peinture rose qui donne sa tonalité générale (comme un filtre) à l’œuvre. Certaines parties du tableau sont à peine esquissées.

Cette peinture fait partie d’une série d’œuvres, « les déguisés », commencée en 2012/2013.

Le départ de cette peinture (comme pour toute la série), est une photographie d’amateur trouvée sur internet : des gens costumés « à l’ancienne » dans des poses et des décors d’aujourd’hui.

L’allure sympathique de la scène est contredite par l’aspect du tableau : le support fin et rigide, le cadrage, la facture volontairement relâchée (fini/pas fini ) , le voile rose qui altère le rendu des couleurs nous questionnent sur la nature de cette image.

C’est aussi une réflexion sur l’importance de l’histoire de l’art et des styles dans la réalisation d’une image.

Philippe CAM

Philippe Cam mène depuis de nombreuses années une réflexion sur les liens de l’art et de ses médiations (discours, histoire de l’art, reproductions, expositions, musées…).

Il a souvent utilisé des collections constituées comme matière première : Artothèque d’Hennebont, musée de Brest, FRAC Bretagne au centre d’art Passerelle et à la friche Belle de Mai à Marseille.

Où commence et où finit une œuvre, où chercher ses limites ? : Dans sa matérialité « propre », dans le dispositif qui la présente, dans le discours qui la fonde ou dans celui qui l’interprète ?

Dans son travail, ces questionnements  passent par de la vidéo, de la peinture, des sculptures en pâte à modeler, des sorties numériques, des performances…

Depuis 2007 la peinture a pris une place plus importante dans son travail. Elle lui a permis de questionner les statuts instables de l’art et de l’artiste : ce dernier était dans ses vidéos collectionneur, érudit, puis conférencier ; il figure maintenant le professeur, et la peinture est elle aussi instrumentalisée comme à des fins pédagogiques.

Pour ses dernières gouaches, il part d’images choisies sur internet : il tape ( congrès ou réunion, conférence…) ; puis il retravaille ces images du discours, de l’autorité, du jugement.

Dernièrement il a travaillé à partir de photographies de reconstitutions historiques ou d’assemblées costumées… Tous ces « sujets » retiennent son attention bien sûr parce qu’ils sont traversés par l’histoire de l’art.

MATHIEU RENAULT / FLORIAN RENAULT

Angers – Vladivostock

Mathieu Renault, peinture acrylique sur affiches lacérées, 130 x 97 cm, 2014.
Tanya. Omsk. Russia. 18/01/2014, Florian Renault.
La photographie et la peinture/collage forment un diptyque.


L’œuvre

Cette photo relate la rencontre dans un train entre le photographe et une passagère. Le photographe et un ami, lors de son périple en transsibérien, ont été à la rencontre des passagers russes. Lors de leur première étape, entre Moscou et Perm aux portes de l’Oural, une jeune fille était seule dans le train et les deux amis ont entamé une conversation avec elle. Persuadés dans un premier temps qu’elle ne parlait pas anglais comme la majorité des personnes présentes dans le train, ils découvrent au moment de leur descente du train, qu’elle maîtrise un anglais convenable. Elle les invite à la rejoindre chez elle, à Omsk, ville située à 2 jours de train de là où ils s’apprêtaient à descendre. Ils acceptèrent l’invitation et prirent directement un autre billet pour Omsk.

Ils restèrent ainsi deux jours à Perm pour ensuite prendre le train en direction Omsk, en plein cœur de la Sibérie, au nord du Kazakhstan. La jeune femme, prénommée Katia, les accueille et ils passent la soirée avec ses amis Dans cette ville d’un million d’habitants, dont l’urbanisme reste très marquée par l’architecture communiste, purement fonctionnelle, ils découvrent un univers entre tiré entre l’Asie et l’Europe, et un peu oublié par « la maison mère Moscou ».

Katia rêve de s’installer à Saint Petersbourg qui représente un peu le graal pour la jeunesse russe. Cette photo a été prise pendant la première soirée passée auprès d’elle, dans son appartement.

Les deux hommes reprennent la route le surlendemain vers Krasnoïarsk un peu plus loin en Sibérie. La suite du voyage est rythmée par le même genre de rencontres, le voyage prenant des détours harsardeux, faits de détours par des villes qu’ils n’avaient pas envisager de visiter au préalable.

Florian Renault est toujours en contact avec Katia, qu’il espère recroiser un jour en Russie ou en France.

Angers – Vladivostock est une composition à base d’acrylique et d’affiches lacérées réalisée lors d’Urban Art 5, le 6 septembre 2014 avec comme support initial la photo citée ci-dessous.

L’image créée consiste en une réinterprétation, de la photographie de Florian Renault, réalisée le temps du concert de clôture d’Urban Art, en présence du public.

Mathieu Renault

Né à Angers en 1982, il est formé aux métiers du livre à Paris. C’est durant ce séjour dans la capitale qu’il réalise de premières fresques sur les murs métropolitains.
Mais c’est au cours de ces voyages en Amérique latine qu’il se forme véritablement à la création plastique.
Depuis cinq ans, la première étape de sa démarche artistique consiste à arpenter les rues des villes qu’il traverse, et pour recueillir sa matière première sur les panneaux d’affichage, les murs. Il en arrache les épaisseurs d’affiches, qu’il lacère, déchire, creuse « en aveugle », dans l’épaisseur des accumulations de papiers collés. En procédant ainsi, il cherche à mettre au jour ce qui est caché, à trouver un sens qu’il découvre « par accident », ou déjà révélé par un autre passant.
Après une exposition à la Kurves Gallery de Montpellier en juin 2014, son travail a fait l’objet d’un accrochage au Rectorat de la ville de Poitiers. En octobre et novembre 2014, ses œuvres ont orné les murs du Forum du Quai à Angers.

Florian Renault

Agé de 32 ans, originaire d’Angers, il est musicien depuis dix ans. C’est dans le milieu musical qu’il trouve son inspiration de photographe passionné par l’argentique.
Il a eu l’opportunité de finaliser des projets qui l’ont amené à voyager en Russie, aux États-Unis, au Canada mais également en Europe. Ses productions ont déjà été publiées dans le magasine Réponses Photo, et travaille actuellement avec un musicien pour la création d’une pochette d’album. Il a auparavant couvert plusieurs événements culturels de la région. Il s’est par ailleurs intéressé à ce qu’on appelle la photographie alternative qui englobe plusieurs techniques dont la révélation du film argentique à base de café. Cette méthode, communément appelée Caffénol est une alternative économique et écologique aux développements chimiques.
Au-delà des différences majeures de pratiques, les deux artistes sont passionnés par la rencontre avec l’altérité, et leurs œuvres témoignent d’un profond humanisme.

HUGO DURAS

Cité numérique Acrylique et crayon sur MDF (panneau de fibres à densité moyenne) 62 x 62 cm, 2013


« Permettre au public de s’ouvrir aux mondes en utilisant ses sens »


L’œuvre

C’est une œuvre toute en oppositions que cette Cité numérique, tant dans ses formes (celles sinueuses des gribouillages, celles géométriques et strictes de l’architecture centrale rappelant un clavier d’ordinateur) que dans ses couleurs (du gris morne de la pollution aux couleurs criardes de la modernité). Autant de contraires qui fusionnent dans un reflet chahuté par les mouvements de l’eau.

Hugo Duras

Artiste auteur, intervenant artistique diplômé d’Etat

L’artiste se définit avant tout par sa sensibilité et son envie de communiquer à travers les arts. Imaginant de nouvelles formes et couleurs, ses travaux évoquent en grande partie l’univers de l’enfance, public avec lequel Hugo Duras  échange et transmet son savoir faire depuis 1999.

SEBASTIEN CHAMBON

Touchatou Peinture acrylique et collages de matériaux divers, 100 x 100 cm, 2013


« Une invitation au voyage, entre poésies et jeux de mots, où le recyclage prend une dimension artistique »


L’œuvre

Au centre du tableau figure la tête d’un chat aux formes géométriques, personnage emblématique de la production de Sébastien Chambon. Sur la surface de l’œuvre sont collés divers éléments hétéroclites, objets et matières de récupération, qui appellent au toucher. Justement, l’artiste invite les enfants à une expérience tactile de son œuvre : « Fini le « Faut pas toucher ! » ».

Sébastien Chambon

Les œuvres de Sébastien Chambon, parfois qualifiées d’art brut ou singulier, abordent avec humour les sujets voisins et actuels que sont la mondialisation, la consommation, ou encore la pollution. De sensibilité écologique, il pratique le « recycl’art », technique qui consiste à utiliser des matières et matériaux de récupération.